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Alexis Pierrard

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pour "Alexis PIERRARD" :

titre
Pluralité des langues et des territoires dans l'État plurinational de Bolivie : illustration par un atlas sonore
auteur
Alexis Pierrard, Philippe Boula de Mareüil
article
Série monographique en sciences humaines/Human Sciences Monograph Series, A paraître, 29, pp.63-84
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2024
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Depuis sa nouvelle Constitution en 2009, l’État plurinational de Bolivie définit une nation indigène comme étant la collectivité humaine qui partage notamment une identité culturelle, une langue et une territorialité. Cette définition, qui associe identité, langue et territoire, est venue sanctionner un mouvement de fond visant à la reconnaissance des droits des populations indigènes et à la préservation des langues autochtones. Dans un premier temps, on s’interrogera sur l’arrière-plan théorique et idéologique de ces évolutions législatives. Dans un deuxième temps, on tentera de cartographier certaines des 36 langues officiellement reconnues, à travers un atlas parlant qui vise à mettre en valeur l’héritage linguistique de la Bolivie. On verra les problèmes pratiques que cela pose et les problèmes que pose l’enregistrement (en plus de la transcription) de traductions d’une même histoire dans une quinzaine de langues amérindiennes, dans le but de mettre en ligne un atlas sonore des langues de Bolivie.
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Approche critique d'un atelier d'écriture pédagogique en quechua bolivien et en uru-chipaya (méthode des TERPLO)
auteur
Alexis Pierrard, Jean Léo Léonard
article
Living languages, 2024, ⟨10.7275/livinglanguages.2005⟩
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2024
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Cet article rend compte des productions didactiques en langue quechua de Bolivie réalisées lors d’un atelier thématique en août 2019 à Cochabamba en appliquant la méthode ethnoéducative des TERPLO (Talleres de elaboración de recursos pedagógicos en lenguas originarias). Les textes pédagogiques rédigés en quechua par les participants — étudiants et professeurs des écoles normales bilingues et interculturelles — ont fait apparaitre nombre de phénomènes et de contenus permettant d’évaluer la forme et la variation de la langue, à la croisée entre recherche-action, théorie de l’éducation populaire selon Paulo Freire et pratique de l’écriture en langues « premières ». En termes sociolinguistiques, sur le plan de la codification (processus d’alphabétisation et d’application des normes diamésiques), on note par exemple dans les écrits de nos ateliers thématiques en langue quechua des hypercorrections en passe de devenir des normes émergentes en quechua bolivien écrit, comme l'inversion des morphèmes de possession et de pluriel par infixation du marqueur de possessif, au lieu de la suffixation, courante en quechua oral. Sur le plan de la réduction narrative et discursive (concernant les contenus culturels), on note des tentatives d’associer la description prosaïque des realia à des perspectives culturalistes connotant la valeur sémiotique endogène des thèmes traités (notamment, le bestiaire, dans les productions scolaires). Cette expérience suggère de n’implémenter le passage à l'écrit qu’après un travail de fond sur les versions orales possibles des textes produits pour l’école, car les participants semblent en situation d’insécurité linguistique face à la norme imposée dans la planification éducative (manuels, syllabus, formation de formateurs, etc.). Il résulte qu’au-delà de la seule praxis de la formation de formateurs, les ateliers thématiques de type TERPLO revêtent un pouvoir diagnostic, en permettant d’identifier les facteurs inhibant ou stimulant la créativité didactique en termes de crédibilité et faisabilité de « l’éthnoéducation ». Este artículo da cuenta de las producciones didácticas en lengua quechua de Bolivia producidas durante un taller temático realizado en agosto de 2019 en Cochabamba aplicando el método etnoeducativo TERPLO (Talleres de Elaboración de Recursos Pedagógicos en Lenguas Originarias). Los textos pedagógicos escritos en quechua por los participantes —estudiantes y docentes de escuelas normales bilingües e interculturales— revelaron una serie de fenómenos y contenidos que permitieron evaluar la forma y variación de la lengua, en el cruce entre la investigación-acción, la teoría de la educación popular según Paulo Freire y la práctica de la escritura en lenguas "primeras". En términos sociolingüísticos, a nivel de codificación (proceso de alfabetización y aplicación de normas diamésicas), observamos, por ejemplo, en los escritos de nuestros talleres temáticos en quechua, hipercorrecciones que se están convirtiendo en normas emergentes en el quechua boliviano escrito, como la inversión de morfemas de posesión y plural mediante la infijación del marcador posesivo en lugar de la sufijación común en el quechua oral. En cuanto a la reducción narrativa y discursiva (relativa a los contenidos culturales) se ha intentado combinar la descripción prosaica de los realia con perspectivas culturalistas que connotan el valor semiótico endógeno de los temas tratados (en particular, el bestiario en las producciones escolares). Esta experiencia sugiere que la transición a la escritura sólo debería llevarse a cabo tras un trabajo en profundidad sobre las posibles versiones orales de los textos producidos para la escuela, ya que los participantes parecen encontrarse en una situación de inseguridad lingüística frente a la norma impuesta en la planificación educativa (libros de texto, programas de estudio, formación de formadores, etc.). En consecuencia, más allá de la praxis de formación de formadores, los talleres temáticos del tipo TERPLO tienen un poder de diagnóstico permitiendo identificar los factores que inhiben o estimulan la creatividad didáctica en términos de credibilidad y viabilidad de la "etnoeducación".
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https://univ-montpellier3-paul-valery.hal.science/hal-04488856/file/FINAL_Pierrard_Leonard_TERPLO_quechua_final_revu.pdf BibTex
titre
Approche critique d'un atelier d'écriture pédagogique en quechua bolivien (méthode des TERPLOs)
auteur
Jean Léo Léonard, Alexis Pierrard
article
IIIe Congrès International de Revitalisation des Langues Indigènes et Minorées (Gérone-Perpignan), Sep 2022, Perpignan (France), France
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2022
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La présente communication rendra compte des productions didactiques en langue quechua de Bolivie réalisées lors d’un atelier thématique à la Faculté d’Humanités et Sciences de l’Education de la UMSS, avec le soutien du FUNPROEIB Andes en août 2019, à Cochabamba, (v. extraits des données sur http://axe7.labex-efl.org/node/481). En appliquant la méthode ethnoéducative des TERPLOs (Taller de elaboración de recursos pedagógicos en lenguas originarias) en trois langues (quechua, aymara, et chipaya), qui consiste à réunir des étudiants des écoles normales bilingues et interculturelles, les textes pédagogiques rédigés en quechua par les participants, âgés entre 20 et 40 ans, pour la plupart étudiants universitaires accompagnés de leurs enseignants, ont fait apparaître nombre de phénomènes et de contenus permettant d’évaluer la forme et la variation de la langue, à la croisée entre recherche-action, théorie de l’éducation populaire selon Paulo Freire (codification et réduction) et pratique de l’écriture en langues « premières ». En termes freiriens, sur le plan de la codification (processus d’alphabétisation et d’application des normes diamésiques), on note par exemple des hypercorrections en passe de devenir des normes émergentes en quechua bolivien écrit, comme l'inversion des morphèmes de possession et de pluriel, par infixation du marqueur de possessif, au lieu de la suffixation en quechua oral. Sur le plan de la réduction (contenus culturels), on note des tentatives de concilier la description prosaïque des realia et des perspectives culturalistes connotant la valeur sémiotique endogène des thèmes traités (notamment, le bestiaire des productions scolaires). Cette expérience auprès de cette communauté de pratique quechuaphone de Cochabamba suggère de n’implémenter le passage à l'écrit qu’après un travail de fond sur les versions orales possibles des textes produits pour l’école, car les participants semblent en situation d’insécurité linguistique face à la norme qu'on leur impose dans la planification éducative (manuels, syllabus, formation de formateurs, etc.) – nous en rendrons compte avec divers faits de langue du quechua oral et écrit. Il résulte qu’au-delà de la seule praxis de la formation de formateurs par les ateliers thématiques ou TERPLO, c’est aussi à des conditions d’évaluation des compétences diamésiques des locuteurs/formateurs. Ce pouvoir diagnostic demande à être intégré à la démarche des TERPLO, en termes de recherche-action, puisqu’il ne s’agit pas seulement de produire des unités pédagogiques et textuelles en langues « indigènes », ni seulement d’enseigner des contenus culturels endogènes ou une quelconque « cosmovision », mais aussi d’identifier les facteurs inhibant ou stimulant la créativité didactique dans ces langues, en termes de viabilité, crédibilité et faisabilité de « l’éthnoéducation ». Le poids de l’espagnol, langue véhiculaire et en position diglossique « haute » pèse certes sur les productions, par contact vertical (litote pour conflit sociolinguistique, pourrait-on dire aussi). Mais les stratégies et choix émergents (et militants) d’élaboration du corpus, au-delà des questions de statut, jouent également un rôle appréciable dans les résultats. De ce point de vue, ces productions en « quechua de scolarisation » s’avèrent un prisme pour l’évaluation des pratiques diamésiques (ou relations entre oralité et passage à l’écrit en langue minoritaires et sous-dotées).
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Communication dans un congrès
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Étude acoustique préliminaire des /r/ fricatifs en espagnol des hautes terres de Bolivie
auteur
Alexis Pierrard, Philippe Boula de Mareüil
article
Journées d'Études sur la Parole -- JEP 2022, ISCA, pp.15-24, 2022, ⟨10.21437/JEP.2022-2⟩
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2022
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Cette étude préliminaire s’intéresse aux caractéristiques acoustiques de deux variantes fricatives de /r/ en compétition dans les hautes terres de Bolivie ; une variante dominante post-alvéolaire avec ou sans battement initial, [r̝ , ʐ], en coprésence avec une variante [z] socialement discriminée. Afin de mener à terme une étude sociolinguistique plus poussée en production et en perception, nous analysons ici les productions de 4 locutrices provenant de la lecture de phrases dans lesquelles ont été insérés des mots incluant différents contextes syllabiques et vocaliques où apparaît le /r/. Les résultats indiquent une proportion de 12–15 % de la variante [z] en contexte surveillé. La variante à battement initial [r̝ ] est relativement rare et favorisée par le contexte initial (#_), tandis que l’apparition de [z] est favorisée par un contexte vocalique antérieur. Enfin, le centre de gravité apparaît comme une mesure efficace pour distinguer [r̝ , ʐ] d’une part et [z] d’autre part.
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Proceedings/Recueil des communications
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Deux missions de terrain en milieu académique en Estonie méridionale : projet Moldico (2017-2018)
auteur
Jean Léo Léonard, Alexis Pierrard
article
Études finno-ougriennes, 2021, 51-52-53, pp.437-477. ⟨10.4000/efo.18464⟩
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2021
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Les deux auteurs se sont rendus en juin et novembre 2018 en Estonie dans le cadre d’une mission pour le projet interdisciplinaire Parrot, afin d’explorer le réseau dialectal sud-fennique, en particulier les dialectes méridionaux (võro et mulgi) et le dialecte oriental (kodavere), de deux points de vue : la dialectologie perceptive d’une part, les ateliers d’élaboration de matériaux pédagogiques d’autre part. Le terrain s’est déroulé en milieu universitaire, sondant aussi bien l’état des connaissances que la praxis pédagogique dans ces langues collatérales du Sud et de l’Est de l’Estonie, au sein du continuum dialectal estonien, que l’on peut qualifier de Mundartbund. De ces rencontres avec des experts ou des locuteurs des dialectes estoniens émergent des considérations générales sur l’enquête en sciences humaines, les méthodes de recherche sur les déterminismes de la variation dialectale et les vertus de l’observation des milieux et du contexte, urbain et rural, in situ, afin de contextualiser et d’ancrer les savoirs dans l’expérience individuelle et collective.
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Deux missions de terrain en milieu académique en Estonie méridionale
auteur
Jean Léo Léonard, Alexis Pierrard
article
Études finno-ougriennes, 2021, 51-52-53, pp.359-376. ⟨10.4000/efo.18464⟩
annee_publi
2021
resume
Les deux auteurs se sont rendus en juin et novembre 2018 en Estonie dans le cadre d’une mission pour le projet interdisciplinaire Parrot, afin d’explorer le réseau dialectal sud-fennique, en particulier les dialectes méridionaux (võro et mulgi) et le dialecte oriental (kodavere), de deux points de vue : la dialectologie perceptive d’une part, les ateliers d’élaboration de matériaux pédagogiques d’autre part. Le terrain s’est déroulé en milieu universitaire, sondant aussi bien l’état des connaissances que la praxis pédagogique dans ces langues collatérales du Sud et de l’Est de l’Estonie, au sein du continuum dialectal estonien, que l’on peut qualifier de Mundartbund. De ces rencontres avec des experts ou des locuteurs des dialectes estoniens émergent des considérations générales sur l’enquête en sciences humaines, les méthodes de recherche sur les déterminismes de la variation dialectale et les vertus de l’observation des milieux et du contexte, urbain et rural, in situ, afin de contextualiser et d’ancrer les savoirs dans l’expérience individuelle et collective.
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https://univ-montpellier3-paul-valery.hal.science/hal-04046642/file/efo-18464.pdf BibTex
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APPROCHE DIASYSTÉMIQUE DES PHÉNOMÈNES DE VOISEMENT EN QUECHUA BOLIVIEN MÉRIDIONAL
auteur
Alexis Pierrard
article
Verbum (Presses Universitaires de Nancy), 2020, 1-2, pp.155-176
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2020
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Le quechua bolivien méridional, langue sans opposition de voisement, présente des phénomènes de voisement allophonique touchant différents segments de la série des occlusives. Ils sont considérés ici comme la manifestation d'un trait contextuel dont la diffusion varie d'un diasystème à un autre. Sur la base de données de première main, une vue d'ensemble du réseau dialectal est proposée.
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SOCIOLINGUISTIQUE HISTORIQUE ET MODERNE DU QUECHUA SUD-BOLIVIEN
auteur
Alexis Pierrard
article
l'harmattan, 2019, Henri Boyer
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2019
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Malgré son million et demi de locuteurs et une vitalité importante, le quechua bolivien a reçu peu d'attention de la part des chercheurs en comparaison avec les autres langues de la famille quechua. L'ouvrage propose un panorama aussi complet que possible des caractéristiques linguistiques internes et externes, passées et présentes, de cette langue amérindienne moins en danger que d'autres langues minoritaires du continent mais néanmoins en situation de fort recul et courant le risque d'une rupture de transmission générationnelle.
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Ouvrages
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Dialectologie sociale quechua ˸ approche variationnelle du réseau dialectal sud bolivien : focus sur le Valle Alto de Cochabamba
auteur
Alexis Pierrard
article
Linguistique. Université Sorbonne Paris Cité, 2018. Français. ⟨NNT : 2018USPCA111⟩
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2018
resume
Cette thèse porte sur le quechua bolivien méridional et ses aspects linguistiques, historiques et sociolinguistiques. Au niveau historique, j’y défends un modèle de diffusion centrifuge hiérarchique urbaine relativement tardive (17ème et 18ème siècles) et d’une hispanisation précoce de cette variété de quechua 2C, avec pour centre principal de diffusion la ville impériale minière de Potosí. L’articulation entre une approche émique (dialectologie perceptive) et étique (sociolinguistique variationniste) m’a par ailleurs mené à proposer une hiérarchisation sociolectale entre deux variétés de quechua bolivien reposant largement sur la perception d’une plus ou moins grande hispanisation. Deux variables linguistiques particulièrement saillantes de cette structuration ont été retenues pour l’étude de la région du Valle Alto de Cochabamba. Les variantes à voyelles basses du morphème du pluriel inclusif Chik, [čeχ], [čaχ], autrefois prestigieuses et en passe de s’imposer sur la variante haute [čis], associée à la ruralité, connaissent aujourd’hui un fort recul suite aux bouleversements socioéconomiques et migratoires des 80 dernières années. Dans le même temps, en production, la distribution des variantes rurales [ʃa] et des variantes urbaines [sqa], [sa] du morphème du progressif Chka, demeure globalement stable. L’interprétation proposée est le manque de saillance de la variable dû à l’absence d’opposition entre sibilantes alvéolaire et post-alvéolaire en quechua 2C et à un phénomène de quasi fusion des allomorphes en perception.
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Thèse
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https://theses.hal.science/tel-02149392/file/These_PIERRARD_Alexis_2018.pdf BibTex
titre
Dialectologie sociale quechua: Approche variationnelle du réseau dialectale sud bolivien
auteur
Alexis Pierrard
article
Linguistique. Université Sorbonne Paris Cité, 2018. Français. ⟨NNT : ⟩
annee_publi
2018
resume
Cette thèse porte sur le quechua bolivien méridional et ses aspects linguistiques, historiques et sociolinguistiques. Au niveau historique, j’y défends un modèle de diffusion centrifuge hiérarchique urbaine relativement tardive (17ème et 18ème siècles) et d’une hispanisation précoce de cette variété de quechua 2C, avec pour centre principal de diffusion la ville impériale minière de Potosí. L’articulation entre une approche émique (dialectologie perceptive) et étique (sociolinguistique variationniste) m’a par ailleurs mené à proposer une hiérarchisation sociolectale entre deux variétés de quechua bolivien reposant largement sur la perception d’une plus ou moins grande hispanisation. Deux variables linguistiques particulièrement saillantes de cette structuration ont été retenues pour l’étude de la région du Valle Alto de Cochabamba. Les variantes à voyelles basses du morphème du pluriel inclusif CHIK, [čeχ], [čaχ], autrefois prestigieuses et en passe de s’imposer sur la variante haute [čis], associée à la ruralité, connaissent aujourd’hui un fort recul suite aux bouleversements socioéconomiques et migratoires des 80 dernières années. Dans le même temps, en production, la distribution des variantes rurales [ʃa] et des variantes urbaines [sqa], [sa] du morphème du progressif CHKA, demeure globalement stable. L’interprétation proposée est le manque de saillance de la variable dû à l’absence d’opposition entre sibilantes alvéolaire et post-alvéolaire en quechua 2C et à un phénomène de quasi fusion des allomorphes en perception.
typdoc
Thèse
Accès au texte intégral et bibtex
https://shs.hal.science/tel-02013378/file/Dialectologie%20sociale%20quechua_Approche%20variationnelle%20du%20r%C3%A9seau%20dialectale%20sud%20bolivien%20%281%29.pdf BibTex
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